En 1976, Marin a treize ans et Lisa en a dix. Ils évoluent entre l'oncle Abel, monsieur Archibouleau, monsieur Maxence, le père Juillet, le chat Grizzly et Plouff le chien. C'est l'été et leur enfance se termine.
L'auteur, journaliste, collaborateur au Monde, qu'il a dirigé de 2007 à 2011, se remémore les 25 années passées dans le journal. Il évoque ses nombreux reportages, les années de crises et les déboires du journal.
L'auteur, journaliste, collaborateur au Monde, qu'il a dirigé de 2007 à 2011, se remémore les 25 années passées dans le journal. Il évoque ses nombreux reportages, les années de crises et les déboires du journal.
Le jour où Colin a fait ses premiers pas au milieu du salon, Marie est partie. Elle a laissé son enfant à Félix. Ensemble, le père et le fils se sont inventé une famille en convoquant dans l'appartement désert des ombres chinoises, des personnages de dessins animés. Félix doit trouver seul les réponses lorsque son fils réclame sa maman.
Eloge de la bicyclette qui, d'après l'auteur, lui permet d'affronter le vertige des mots, l'épaisseur du langage pour trouver le ton juste, le bon rythme, l'image, etc.
Le narrateur, François Signorelli, est atteint du syndrome de Korsakov, une forme de dégénérescence de la mémoire où le malade invente des histoires pour combler ses lacunes. On suit son enfance à Bordeaux, puis sa vie de médecin à Palerme où il s'auto-diagnostique. Il engage un tueur pour le jour où il ne se reconnaîtra pas. Prix roman France Télévisions 2004. Prix des libraires 2005.